Suivez le guide ...

Petite rando matinale aux Monts Koghis, direction le point de vue TDF, soit environ 4 km en forêt.

La liane-balançoire.

L'auberge des Koghis qui nous attendait pour se remettre de la marche.

Et le point de vue ... pas mal ... et dire qu'on retourne au boulot demain, dur !

Nouméa encore !

De Chinatown à la Vallée des Colons ... et de l'art du graffiti à l'art papou.
Un beau coq-à-l'âne !

Chinatown

Le quartier haut en couleurs de Nouméa ... On y trouve de tout made in China.
Quartier populaire et pas cher, mais l'urbanisme laisse à désirer ... et l'absence de tout à l'égoût n'arrange rien.
N'empêche que si vous cherchez n'importe quelle chinoiserie, un paréo pas cher ou un tee-shirt de Bob Marley ...

Un petit tour par les sommets !

Steph en pleine ascension ...

Moi-même ...

C'est là-haut que nous sommes allés ...



Rando aux Koghis en amoureux aujourd'hui. Tentative échouée de faire le tour des sommets pour cause de rochers super glissants et de cassage de gueule mémorable de ma part. Et oui quand on est un gros panda, difficile de se mettre au kung-fu ...
En fait de chemin, on grimpe le long de la crête, c'est beau le lagon d'un côté et le massif de la Thy de l'autre, mais c'est aussi haut et toujours dans les nuages donc très humide ... enfin une belle balade tout de même.

Et voilà

Du lever au coucher de soleil ... Sur mer, sur terre ou dans les airs ... On a réussi notre brevet de Robinson !

La murène sauvée par notre héros de papa.


Les chamallows au barbecue ... un grand classique.











Beacher un bateau c'est ça !











Je pense pouvoir décerner une mention à Steph pour allumage de feu et aux enfants pour ramassage de bois mort, on l'a fait à l'ancienne, pas de charbon et les moyens du bord. Steph a tout de même écrabouillé un pauvre bébé tricot rayé, mais pour la bonne cause, il nous fallait du bois.

Camping ***

Notre campement à l'îlot Signal avec faré et barbecue, le luxe du camping sur îlot.
C'était une première ... et dire qu'il y a un an on vivait en Picardie ... on se sent loin !


Vue sur le lagon, les filaos comme rideaux.

Et La Photo ... notre pêcheur à l'oeuvre ( c'est son papa qui va être fier ) !
Il faut dire que je n'avais pas prévu assez pour les repas, c'est donc avec l'estomac vide et une forte motivation que notre chasseur est parti taquiner le poisson, et le résultat est là: un beau perroquet et un rouget ! On était fiers ( sauf Iéléna qui a vomi à cause des poissons morts ...)

C'est qu'un résumé, la suite arrive demain.

Fin de l'hiver ...

Après quelques semaines de fraîcheur, le temps revient au beau fixe, donc retour à l'océan pour une journée de wake ... On embarque Denis et Bounty.











Iéléna et son étoile de mer, on vient d'apprendre à cause des dérangements intestinaux de Milan que cette charmante petite bête n'était pas comestible, mais elle peut devenir un adorable animal domestique.

Bounty, un collègue tahitien de Steph en position délicate. Enfin le reste du temps il nous a plutôt donné une leçon, Steph et Denis ont mesuré leur marge de progression.
























Soleil couchant et tentative de pêche ... infructueuse comme d'hab ... on avait pourtant sacrifié au rituel Number One, les poissons nous fuient.

Brice de Nice

Milan s'est mis au surf ...

Mon guerrier

Après-midi au musée pour une initiation aux traditions kanak ... Milan a adoré, il a dansé le pilou avec passion. Pour ceux qui connaissent pas, c'est une danse d'ici ... danse de guerre ritualisée ... un truc dans l'esprit maori, vous savez la danse des All Blacks ... même si le haka est d'origine polynésienne, c'est juste pour situer ( les puristes n'auront qu'à corriger).
Milan, futur All Black ??????
Remarquez, il lui manque déjà un morceau de dent ... un guerrier !

Un z'oreille, c'est ça !

Les gros z'oreilles que nous sommes n'avions aucune explication à cette dénomination qui peut alterner de gentillette à franchement déplaisante. Le z'oreille est un peu l'envahisseur de Nouvelle -Calédonie et comme tous les derniers arrivés, il est souvent responsable de tous les maux ...
Milan nous a fourni aujourd'hui une bonne explication: multi piqué par les méchants moustiques mangeurs d'hommes de Païta, il a développé de nombreuses pustules et notamment une bonne dizaine sur l'oreille, la transformant en chou-fleur, ce qui nous a mis sur la voie: le z'oreille est un nouvel arrivant détecté immédiatement par les moustiques cannibales et dont l'oreille prend sous les coups de leur trompe des proportions telles qu'on le reconnaît facilement. Victime et avec de grosses z'oreilles !
Si vous avez des explications plus convaincantes, on attend ...
Et merci à Yannick et Estelle, les habitants de Païta, capitale du moustique (si gros qu'on croit que c'est la capitale du boeuf ), les moustiques nous ont presque pris autant de sang d'appellation d'origine contrôlée qu'on leur a bu de vins ( et c'est pas rien).
Nous n'avons pas d'autre explication ( Eric et Ramzy).

Cro mignon

Et voici la moureuse de Milan, Sidney, notre voisine !
Et c'est de l'amour ... pur et adorable !

Rodéo

On entraîne les enfants au rodéo, le sport national !
Plus sérieusement, ils se trouvent trop grands pour faire du manège désormais.
Iéléna a cependant consenti à chevaucher un âne pour un petit tour en lieu et place d'un poney, on progresse, serait-elle en train de guérir de sa passion exclusive pour les équidés? Rien d moins sûr.

Ballet ...

C'était hier soir la première repprésentation de notre vahiné au sein de la troupe Haamoura.
Quelle fierté !

Les petites attendent sagement leur tour, elles ont dansé tard, mais pas de larmes, pas de crises, de la discipline pour ces futures étoiles qui regardaient les grandes avec envie.

Au vestiaire on se prépare, la tension monte. On se prend à rêver d'aussi beaux costumes, mais ils sont réservés aux danseuses.

Dernières recommandations de Sylvie, chorégraphe, prof de danse et danseuse de talent.

Toute la troupe Haamoura.

On l'a fait !

Nous au départ, en bons derniers, ce qu'on devait regretter plus tard, pris dans les embouteillages de passages difficiles.

Un passage de creek sur planche humide et foulée par cinq cent personnes avant nous, du plaisir !
28km ( mais il y a litige, certains disent 32 et on veut bien y croire) avec les pieds mouillés, trempés entre montées difficiles à quatre pattes et descentes glissantes de lianes en branches, ce fut dur pour nos petits corps, surtout que Denis avait un torticolis d'enfer. Enfin, on a réussi et prouvé que l'important est de participer.
La suite plus tard ...