La fin ...

On atterrit à Port-Vila en début d'après-midi, ce qui nous laisse le temps de déposer nos bagages et d'aller faire un saut en ville. D'ailleurs c'est plus beau vu d'avion, ville polluée, trop de voitures, bâtiments rudimentaires, les bidonvilles à la sortie ... la beauté du lagon sauve un peu les affres d'une ville écartelée entre une richesse extravagante et une pauvreté trop répandue. Le Vanuatu est un paradis fiscal. Les colons blancs ont été chassés, mais le colonialisme de l'argent a pris leur place.

Si la viande du pays est si réputée, c'est certainement parce que les boeufs font de l'exercice, enfin surtout quand on passe en avion au-dessus de leur tête !

Le rêve, un tobbogan pour se jeter à la mer !

Au marché, pause coco !

Superbes fleurs

Passage au musée national pour le plaisir de voir encore tous ces objets magiques !

Et on s'en retourne à Nouméa, avec du retard mais pas à cause du nuage de cendre, à bord on lit Les Nouvelles Calédoniennes qui nous apprennent qu'on n'a pas pu visiter le volcan en alerte orange et qu'on songe à évacuer les populations autour du volcan, Louis notre guide aurait bien ri en lisant ça. A moins que tout cela ne soit qu'un rêve ... Au Vanuatu les histoires sont bien vivantes ...